La Fin Du Cirque : Le Retour d'Enya - Par Sage(T)

La fin du cirque I

La table tourne aux abords de tes pensées, ces mots sont si souvent dépaysés, encore sous ce soleil tout ce que l’aube réussis à apporter est le manque de volonté. Qu’étions-nous jadis ? Dans le noir, croire semble si flou et il se fait si tard.
Mordre dans la dernière miche de pain pour tenter le coup jusqu’à demain. La couleur du ciel était grise, comme si la pluie se tenait prête à déverser ses larmes. Les animaux dansaient sur le courant de vent qui flattait mon visage. Mes joues resserrées, la mâchoire finement crispée, la souffle qu’émanait mon cœur semblait être ailleurs. Couru, ô, j’avais tant couru. Ou état rendu l’espoir congru, l’espoir possible, de voir le moment se transformé en matin remplit de chant si mélodieux.
L’oiseau perché sur ma main grignotait ces conflictuels graines de pain. Nourrir à la main l’humain, ce fléau existait encore. Les grands dirigeants infligeaient aux habitants de cette terres si peu d’empathie, de souvenir, que ce petit bout de pain semblait denrée rare pour certain. La forêt ! Oui, cette forêt ! Les épopées anciennes qui auront été victorieuses, sont maintenant croyances, mythes et légendes. Le bon air y est encore, dans ce gîtes, ample de cimes. Les feuilles allaient bientôt devenir pleines de couleurs. Vague d’espoir pour profiter du calme et des petits moments de la vie.

-Mère !

La voix d’un petit fut entendu, ce petit, c’était l’héritier du trône. Le fils d’Urutar et d’Enya, personnages influent de la grande Pheres. Cette terre qui fut rasée par l’apocalypse et les révolutions. Cette terre qui les accueillait, est maintenant la cause de leur fuite vers la Grande Thessalie. Le petit s’avança vers sa mère, songeur.

-À quand notre retour vers Pheres ? – songea-t-il.

Sa mère lui sourit tout en laissant vent de sa déception à travers les rides de son visage. Son fils était rempli d’émerveillement face aux histoires de ses parents et cette terre autrefois glorieuses le faisait rêver.

-Fils, rétorqua-t-elle, Pheres se meurt. Nous sommes ici pour commencer une nouvelle ère, une nouvelle vie.

Les regards furent futés entre les deux, puis le jeune courut à la ferme pour y voir son père.

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Citation:

PEUPLE,


Que suite à l’alliance entre le royaume d’Enya et les fidèles d’En-Kai dure une éternelle vie de bonheur sur cette terre et que les fauteurs se meurent à travers la lumière flamboyante de nos épées. La Justice sera l’éclair bleue de nos âmes qui punira l’intempérie du temps entre la vie et la mort, de l’espoir à la terreur nous nous lèverons pour donner aux païens une paix d’esprit méritée. Soyons pour un moment, l’entité innombrable de cette terre.

Votre Reine et doyenne du comté,
Enya.